 REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE Retrouvez � la une, le reportage photographique sur le match des 18 ans entre le Red Star et le Paris SG (3-0).
Demain, en photos, le match de DSR entre le Red Star et Le Chesnay (2-1). 
 ALLEZ YOANN ! Ce soir, Yoann Djidonou doit disputer la rencontre B�nin � Nigeria, dernier match des B�ninois.
Allez Yoann !
 Charaf Chitou et Yoann Djidonou
 LES RESULTATS L�ensemble des r�sultats du week-end sur cette page :
 LES HORAIRES D?ETE D�s le premier week-end de f�vrier, les matchs de football de la Ligue de Paris passent � l�heure d��t�. Pour les matchs � l�Ile des Vannes 13 h 30 au lieu de 13 h et 15 h 30 au lieu de 15 h.
 UN ANCIEN DU RED STAR ? SUCCEDE A UN ANCIEN DU RED STAR Jacky Bonnevay, entra�neur de Niort (L 2) a �t� limog�, hier et remplac� par son adjoint, Samuel Michel. Un passage entre ancien Vert ! Samuel Michel ne poss�dant pas tous les dipl�mes pour entra�ner en L 2 sera second� dans les jours � venir.
Bonne chance Samuel � qui avait r�ussi un tripl� face � Niort avec le Red Star, en 1993 :
 Samuel Michel au fond Nacer Bouiche et Pascal Amours
 LES DIX ANS DU STADE DE FRANCE A la une, les dix ans du Stade de France et parmi les 85 matchs de football qui se sont d�roul�s dans l�enceinte de Saint-Denis, deux matchs avec le Red Star. Retrouvez quelques photos :
et dans le mois de f�vrier une vid�o sur Red Star � Saint-Etienne de 1999.
 Richard Akiana, sous Le maillot du Red Star double buteur au SDF
 ET TOUJOURS PAS DE RESIDENT Nous reproduisons un article paru hier dans Lib�ration concernant les 10 ans du SDF o� sont �voqu�s les difficult�s des clubs parisiens. � En 2008, le second �grand� club parisien derri�re le PSG et potentiel r�sident d�un Stade de France qui f�te aujourd�hui ses 10 ans (1) est plus que jamais l�Arl�sienne du foot hexagonal. Et une exception fran�aise quand toutes les grandes villes europ�ennes comptent au moins deux �quipes, voir plus comme Londres (cinq clubs en Premier League) Pire, Cr�teil (Val-de-Marne), dernier club francilien � ce niveau, a d�sert� la L2 et rejoint le Paris FC et l�Entente Sannois Saint-Gratien (ESSG, Val-d�Oise) en National. Villemomble (Seine-Saint-Denis) a acc�d� pour la premi�re fois � cette division b�tarde, entre amateurisme et professionnalisme. Pour les dirigeants de ces quatre clubs, l�absence d�un autre club parisien en L1 est anormale, mais elle s�explique.
Anormale car la r�gion est un r�servoir de talents : les internationaux Gallas, Henry, Anelka, Ben Arfa ont grandi en r�gion parisienne. Anormale car, avec 9,5 millions d�habitants, l�agglom�ration poss�de un potentiel de public in�gal�.
Synth�
C�t� explications, le manque d�infrastructures arrive en premi�re ligne. Seul Cr�teil dispose d�installations dignes d�un club pro. �Nos jeunes de niveau national s�entra�nent sur des demi-terrains en synth�tique. L��quipe premi�re n�a pas de lieu d�entra�nement fixe�, r�le Philippe Bompard, pr�sident d�l�gu� du Paris FC. A Villemomble, 17 �quipes se partagent le seul terrain d�entra�nement de la ville. Deuxi�me point noir : aucun centre de formation ne retient les jeunes espoirs, qui s�en vont d�s 13 ans. Luc Dayan, ex-candidat � la reprise du PSG et pr�sident de l�ESSG, ne peut pas construire un tel �quipement. �On est le meilleur club de jeunes d�Ile-de-France, mais on n�a pas le droit de cr�er un centre de formation si on n�a pas fait deux ans en L2�, rage-t-il. Autre probl�me r�current, l�absence de spectateurs. �Il nous faut un 12e homme, mais on a du mal � fid�liser le public�, regrette Armand Lopes, le pr�sident cristolien. En L2, son club attirait 3 500 personnes. Il y en a dix fois moins en National. G�rard Vivargent, le pr�sident villemomblois, lui, envie la province : �A domicile on tourne � 500 de moyenne. A Rodez, on a jou� devant 3 500 personnes. L�-bas, les gens s�identifient au club. Nous, on est une ville-dortoir de banlieue.�
Un manque d�engouement que l�on retrouve c�t� sponsors, avec des cons�quences budg�taires �videntes. �En d�but de saison, on n�avait m�me pas de sponsor maillot, d�plore Vivargent. En montant en National, j�attendais des coups de fil. Rien du tout, on est revenus � des sponsors locaux.� Pour seulement 10 000 euros � la cl�. Bompard tente une explication : �L�offre d��lite � Paris est compl�te. En province, toute la ville pousse derri�re son club. Mais plus on montera, plus on aura des partenaires d�envergure, alors qu�en province il y a une limite.� Pour tous, le seuil d�int�r�t est la L1.
Case d�
Derni�re difficult� : le provincialisme du foot fran�ais, v�ritable �dictature� des sous-pr�fectures. �Les dirigeants du football ne m�ont fait aucun cadeau�, lance Dayan, dont le club a manqu� la mont�e il y a trois ans suite � un �pisode juridique. �Avec le Paris FC, la pi�ce tombe toujours du mauvais c�t�, ironise Bompard. Si la Direction nationale du contr�le de gestion [qui valide les comptes des clubs, ndlr] est aussi pointilleuse avec les autres, on sera vite en L2.� Vivargent, lui, s�amuse : �La f�d� est dirig�e par des provinciaux pour qui nous sommes une anomalie. Ils ne nous remettent m�me pas sur une carte.� Mais, contrairement � ses coll�gues, il n�ambitionne pas d��tre le second club parisien. �La grande �quipe d�Ile-de-France, ce devrait �tre le Red Star�, confie-t-il. Alors, dix ans apr�s, retour � la case d�part ? Le Stade de France n�a toujours pas de club r�sident. Et il s�en passe tr�s bien. � (1) Inaugur� par une victoire de la France sur l�Espagne (1-0).
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